TOUT CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR L'ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL

 

 

CONFORME AUX RECOMMANDATIONS OFFICIELLES 2017

(MAIS LARGEMENT DEVELOPPE POUR UNE MEILLLEURE COMPREHENSION)

 

 

 

 

 

L’attestation de Prévention et Secours Civique de niveau 1 (PSC1), est la deuxième formation au secourisme destinée au « grand public » après la formation aux Gestes Qui Sauvent (GQS).

Dans sa partie consacrée au malaise, les symptômes les plus caractéristiques de l’Accident Vasculaire Cérébral (AVC)  y sont aujourd'hui clairement  énumérés.

Si la nécessité d’évoquer le sujet est apparue évidente aux sociétés savantes qui régissent l’apprentissage des gestes qui sauvent, cet ajout s'est effectué alors même que l'on décidait de réduire le nombre d’heures d’enseignement dudit PSC1, ne permettant donc pas aux formateurs de s’appesantir sur les circonstances de cette attaque cérébrale, ses effets immédiats, ses conséquences à long terme et surtout, sur l’impérieuse nécessité d'agir sans délai pour en limiter les dégâts.

L'Accident Vasculaire Cérébral est bien sûr également traîté lors des formations au Sauvetage Secourisme du Travail.

C'est pourquoi, fidèle au principe que COMPRENDRE est le meilleur moyen de RETENIR, ai-je décidé de vous présenter ici, de la manière la plus détaillée possible, mais toujours vulgarisée, tout ce que vous devez connaître de l'Accident Vasculaire Cérébral (AVC).

RB

 

Avec 130 000 à 140 000 nouveaux cas recensés chaque année en France, l’Accident Vasculaire Cérébral est à ce jour la troisième cause de mortalité (30 000 à 40 000 décès annuels), la deuxième cause de démence (après la maladie d’Alzheimer), et la première cause de handicap acquis non traumatique.

Elle est à ce jour la première cause de mortalité chez la femme dans le monde !

 

 

A l’échelle mondiale, un Accident Vasculaire Cérébral se produit toutes les 5 secondes !

 

 

 

En outre, de récentes études ont démontré que les personnes de moins de 65 ans étaient de plus en plus touchées par ce fléau (25 % de plus qu’en 1990), y compris chez les moins de 20 ans…

Pourtant dans bien des cas, les conséquences résultant des Accidents Vasculaires Cérébraux pourraient être considérablement limitées, voire évitées si les témoins (et même parfois les victimes elles-mêmes) étaient capables de reconnaître quelques signes très caractéristiques de l’attaque cérébrale, et connaissaient les deux seuls gestes à accomplir en leur présence.

Tel est l’objectif de cette page !

 

Comme il est d’usage sur "LE SECOURISME EN VIDEO", nous chercherons à comprendre en quoi consiste l’Accident Vasculaire Cérébral et ce qu’il engendre pour la victime.

C’est à n’en pas douter le meilleur moyen de retenir à long terme comment en reconnaitre les signes, le jour où, peut-être vous en serez témoin.

 


 

 

 

COMPRENDRE L’ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL POUR MIEUX LE COMBATTRE...

 

 

 

Notre cerveau est un organe complexe et particulièrement sensible qui régule toutes nos fonctions organiques (respiration, régulation du rythme cardiaque, digestion, régulation de la température corporelle, etc.) et sensorielles (auditive, visuelle, olfactive, gustative et tactile).

Pour ce faire, il dispose d’un impressionnant réseau de nerfs qui parcourent notre corps et lui envoient d’innombrables informations qu’il analyse, et auxquelles il apporte des réponses, parfois conscientes (activer les muscles des jambes pour se déplacer, lever le bras pour héler un taxi…), mais aussi de manière inconsciente (respiration, éternuement, sécrétion des glandes endocrines et exocrines, l’accélération du rythme cardiaque pour oxygéner davantage les muscles à l’effort…).

Ainsi le cerveau est-il une sorte de chef d’orchestre qui, lorsqu’il est affecté, induit aussitôt une cacophonie particulièrement désagréable, se traduisant dans notre organisme par d’importants désordres, généralement ressentis par la victime et le plus souvent observables par autrui.

 

Notre vie est donc une sorte de symphonie continue, dont le rythme et l’intensité évoluent au gré de nos activités diurnes et nocturnes, menée de main de Maître par…. notre cerveau !

Mais pour fonctionner de manière optimale, c’est-à-dire « sans fausse note », il faut que notre « chef d’orchestre » (le cerveau), et ses milliards de musiciens (les neurones) soient alimentés continuellement en OXYGENE et autres nutriments transportés par LE SANG.

Tel est le secret de « l’équilibre parfait », mais aussi l’explication des désordres qui se produiront en cas :

d’ACCIDENT (évènement soudain qui entraîne des dégâts)

  VASCULAIRE (provenant des vaisseaux sanguins)

  CEREBRAL (au niveau du cerveau)

 

L’Accident Vasculaire Cérébral est donc « un évènement soudain provenant des vaisseaux sanguins, entraînant des dégâts au niveau du cerveau ».


Il peut avoir de nombreuses causes : l’hypertension artérielle, l’excès de cholestérol, l’obésité, le diabète, le tabagisme, l’hérédité… d’où l’importance d’aller consulter régulièrement son médecin traitant (une fois par an est un minimum) même quand tout semble aller bien !


L’AVC survient lorsque le sang n’irrigue plus, ou insuffisamment, une zone de notre cerveau, soit en raison d’un caillot venant obstruer une artère (on parlera d’un AVC d’origine ischémique), soit en cas de rupture d’une de ses artères (on parlera alors d’un AVC d’origine hémorragique).


Dans le premier cas, heureusement le plus fréquent car aussi le plus simple à soigner (80 % des cas), l’obstruction de l’artère cérébrale est provoquée par un caillot sanguin s’étant formé à l’intérieur de celle-ci sur une plaque de lipide (on parle de thrombose cérébrale par athérosclérose), ou bien le caillot de sang s’est constitué dans une autre partie du corps, souvent le cœur, ou les carotides (artères latérales du cou), puis a été transporté par la circulation sanguine jusque dans le cerveau (on parle d’embolie cérébrale).


Qu’il se soit formé directement dans le cerveau, ou qu’il y ait été transporté, le caillot (ou thrombus) vient obstruer l’artère cérébrale, stoppant soudainement son irrigation, et donc l’apport en oxygène et nutriments nécessaires à la survie de tous les neurones ("nos musiciens") qui se trouvent au-delà…


L’AVC d’origine hémorragique (20 % des cas), dont le pronostic est généralement plus grave, consiste en la rupture d’une artère cérébrale, qui peut avoir plusieurs causes : le plus fréquemment, l’hypertension artérielle, ou la rupture d’anévrisme (petite déformation fragilisant un vaisseau sanguin), plus rarement, certaines pathologies provoquant des troubles de la coagulation, des tumeurs…


Comme dans le cas de l’obstruction, l’hémorragie aura pour effet de stopper soudainement l’irrigation sanguine en aval de la fuite, en affectant directement la zone concernée, mais ajoutera des désordres collatéraux supplémentaires en comprimant les tissus cérébraux situés autour de la fuite.

 

Quelle que soit l’origine de l’Accident Vasculaire Cérébral, elle affectera, selon sa localisation dans le cerveau, une zone plus ou moins importante qui provoquera de manière soudaine, d’importantes répercussions physiologiques sur la victime qu’il vous faut absolument connaître pour identifier sans délai un probable AVC (ou autre problème neurologique grave).


En effet, même si l’évolution des techniques permet de traiter certains AVC jusque dans les 3 à 4 h 30 après sa survenue, idéalement la prise en charge de la victime par une unité neuro-vasculaire doit être effectuée dans l’heure qui suit !


La raison en est simple :


 

 

Aussi est-il essentiel de connaître les signes les plus couramment observables chez les personnes atteintes d’un AVC :

 

APPARITION SOUDAINE

 d’un ou plusieurs des signes suivants...

 

FAIBLESSE OU PARALYSIE D’UN MEMBRE...

La paralysie correspond à la diminution ou à l’abolition complète de la motricité du membre concerné.

Elle peut concerner un bras, une jambe ou même la moitié du corps (hémiplégie).

Demander à la victime de tendre ses bras devant peut être un bon indicateur si un seul bras s’élève…

(et/ou) DEFORMATION DE LA FACE

La partie la plus visible de ce début de paralysie faciale est une déviation de la mâchoire inférieure, vers la droite ou vers la gauche.

L’œil se trouvant du côté paralysé ne sera plus mobilisé de manière symétrique avec le côté non affecté.


PERTE UNI OU BILATERALE DE LA VISION

Un trouble soudain de la vision doit immédiatement alerter la victime et son entourage.

La victime peut se plaindre de ne subitement plus voir que d’un seul œil (amaurose), ou plus rarement d’une cécité complète.

Elle peut aussi avoir soudainement un champ de vision réduit.


DIFFICULTE DE LANGAGE OU DE COMPREHENSION

La victime peut, soudainement, ne plus parvenir à s’exprimer convenablement.

Ses propos peuvent être cohérents, mais son élocution difficile en raison d’un début de paralysie des muscles de la face. La personne éprouve des difficultés à articuler, et donne alors l’impression de s’exprimer avec des « chamalows » dans la bouche (on parle de dysarthrie).

Elle peut à l’inverse avoir gardé une élocution correcte, mais prononcer les mots de manière incohérente, des bribes de phrases ou de mots complètement incompréhensibles pour l’entourage (on parle d'aphasie).

Elle est parfois consciente de cet état, qui devient alors extrêmement angoissant.

Il se peut enfin que ce soit la victime qui ne comprenne soudainement plus les personnes qui l’entourent.


MAL DE TETE SEVERE, SOUDAIN ET INHABITUEL

Sans raison particulière (on dit sans prodrome), alors qu’elle se portait quelques secondes auparavant parfaitement bien, la victime se plaint soudainement de violents maux de tête.

 

 

 


PERTE D’EQUILIBRE, INSTABILITE DE LA MARCHE OU CHUTES INEXPLIQUEES

Sans explication apparente ou connue, la personne semble ne plus pouvoir trouver l’équilibre et se sent incapable de rester debout sans chuter.

Il faudra distinguer cet état de celui de la personne âgée s’étant simplement entravée dans le tapis gondolé du salon, ou de celle (quel que soit son âge !), qui aura abusé des libations…

A l’inverse il faut être prudent et ne pas prendre pour de l’ébriété ce qui peut être en réalité les signes d’un AVC ! (d’autres pathologies peuvent aussi présenter des symptômes pouvant laisser croire à l’ivresse. En l’absence de consommation alcoolique et au moindre doute, n’hésitez pas à demander un avis médical auprès du SAMU CENTRE 15).


Comme vous l’aurez certainement remarqué, parce que vous êtes des lecteurs attentifs, deux mots reviennent souvent depuis le début de cette page :

Les mots « SOUDAIN », et « SOUDAINEMENT » !

Pourquoi ? Parce que LE PREMIER CRITERE QUI DOIT VOUS ALERTER SUR LA PROBABILITE D’UN ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL, C’EST LA SOUDAINETE AVEC LAQUELLE SURVIENNENT LE OU LES SIGNES CI-DESSUS !

 


 

 

 

QUE FAIRE EN CAS D’APPARITION SOUDAINE D’UN OU PLUSIEURS DE CES SIGNES ?

 

La première des choses à faire est d’ALERTER IMMEDIATEMENT LES SECOURS (15, SAMU / 18, SAPEURS-POMPIERS / 112, numéro d’appel Européen).

L’AVC est une URGENCE ABSOLUE !

Rappelez-vous... à chaque minute de perdue, 2 millions de neurones sont définitivements détruits !

N’hésitez jamais à contacter les secours institutionnels, même en cas de doute. Mieux vaut appeler pour rien, que d’appeler trop tard… il y va du devenir de la victime.

 

Ensuite, METTEZ LA PERSONNE AU REPOS, SI POSSIBLE EN POSITION ALLONGEE* pour favoriser l’oxygénation du cerveau jusqu’à l’arrivée des secours, et suivez scrupuleusement les conseils complémentaires qui pourraient vous être donnés par le Médecin régulateur du SAMU.

(*) Nota : En cas de gêne respiratoire, l'installer en position demi-assise. Si la victime adopte spontannément une autre position, la laisser dans la position de son choix.

 

 

SI LA PERSONNE EST INCONSCIENTE (cf. l’onglet « L’inconscience »), ALLONGEZ-LA SUR LE COTE, BOUCHE ENTROUVERTE POUR EVITER L’ETOUFFEMENT ET PERMETTRE L'ECOULEMENT DES LIQUIDES (SALIVE...).

Essayez autant que possible de ne pas paniquer pour ne pas ajouter au stress de la victime, et si possible, contentez-vous d’énoncer le plus fidèlement possible les signes que vous observez SANS MENTIONNER LES MOTS « Accident Vasculaire Cérébral » ou « AVC » en présence de la victime ou de sa famille.

Même si vous êtes persuadé(e) d’en reconnaître les symptômes, parce que vous avez été formé(e) au secourisme ou avez lu cette page avec attention, il est inutile d’affoler davantage la victime et ses proches.

Ne transportez jamais la personne aux urgences, vous aggraveriez son cas !


Laissez faire les professionnels. Le SAMU organisera la prise en charge la plus adaptée à la situation (prompt-secours, médicalisation, transport, choix de l’unité spécialisée).

 

Ne faites jamais boire ou manger la victime, elle risque de faire une « fausse route » si la capacité à déglutir est altérée (risque d’étouffement). Et comme vous le savez déjà, si vous êtes un lecteur fidèle de ce site : ON NE DONNE JAMAIS A BOIRE A UNE VICTIME, afin de ne pas retarder une éventuelle intervention chirurgicale (qui nécessite d’être à jeun !).


 

 

 

QU’EST-CE QU’UN ACCIDENT ISCHEMIQUE TRANSITOIRE ?

 

Il arrive que les symptômes énoncés ci-dessus disparaissent aussi subitement qu’ils sont apparus, dans les minutes ou dans les heures qui suivent.

Cette interruption temporaire de la circulation cérébrale est appelée « Accident Ischémique Transitoire ».

Il s’agit d’une obstruction passagère d’une artère cérébrale, mais dont le caillot s’est déplacé, rétablissant de fait l’irrigation de la zone affectée.

Les troubles occasionnés pendant l’obstruction disparaissent, laissant croire à celui qui les a subis qu’ils sont sans importance.

Il n’en est pourtant rien puisque la plupart des Accidents Ischémiques Transitoires entraîneront un Accident Vasculaire Cérébral constitué dans les 48 heures, ou dans la semaine à venir, mais cette fois avec les risques qu’on connait en termes d’invalidité permanente, de démence ou de mortalité.  

Les signes que nous venons de voir doivent donc amener la victime comme son entourage à réagir de la même manière, qu’ils soient passagers ou durables.

APPEL IMMEDIAT DES SECOURS POUR OBTENIR UN AVIS MEDICAL

MISE AU REPOS DE LA PERSONNE EN POSITION ALLONGEE JUSQU’A L’ARRIVEE DES SECOURS.

SI LA PERSONNE EST INCONSCIENTE, ALLONGEE SUR LE COTE BOUCHE ENTROUVERTE POUR EVITER L’ETOUFFEMENT ET PERMETTRE L'ECOULEMENT DES LIQUIDES (SALIVE...)

 


 

 

____________________

 

 

Et pour tout ça, je vous rappelle que rien ne vaut la pratique de l’entraînement sous le regard avisé d’un formateur de secourisme.

 

Inscrivez-vous auprès d’une association agréée de Sécurité civile ou auprès des Centres de secours (Sapeurs-pompiers), il en existe forcément près de chez vous !

 

RB

 

 ____________________

 

 

 

Vous êtes Médecin, Infirmier(ère), Spécialiste dans le domaine de la neurologie ou de l’urgence médicale ? Votre avis sur le sujet peut intéresser nos lecteurs !

 

N’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires et de votre expérience pour compléter cette page.

  

Soyez-en par avance remercié(e).

 

RB

 

 

 

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AVIS AUX LECTEURS

 

 Le secourisme évolue au gré des réformes et des recommandations nationales du ministère de l'Intérieur, européennes (ERC) et internationales (ILCOR), tant pour simplifier son apprentissage au plus grand nombre, que pour améliorer la technique et son efficacité pour les victimes jusqu'à leur prise en charge par les équipes de secours spécialisées.

 

Les dernières recommandations officielles,  référencées par  le Ministère de l'Intérieur (Direction Générale de la Sécurité Civile et de la Gestion de Crise) quant à l'unité d'enseignement Prévention et Secours Civiques de niveau 1 (PSC1) et les Premiers Secours en Equipe de niveau 1 et 2 datent de décembre 2021.

 

En ce qui concerne le Sauvetage Secourisme du Travail, les dernières modifications techniques de l'Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) remontent à juillet 2022 : Guide des données techniques et conduites à tenir (Version V4.07/2022).

 

Les documents officiels y relatifs sont téléchargeables dans l'onglet intitulé :"LES RECOMMANDATIONS OFFICIELLES EN MATIERE DE SECOURISME", situé en marge de gauche du présent site. 

 

Dès lors, soyez attentifs aux dates auxquelles ont été réalisées les prises de vues (photos et vidéos), certaines pratiques évoluant au gré des réformes en la matière.

  

RB 

 

Nombreux sont les organismes, publics, associatifs ou privés chargés d’assurer votre protection au quotidien.

 

Professionnels, volontaires ou bénévoles, tous ont en commun de consacrer une partie de leur vie à sauver celle d’autrui.

 

Ne sont évoqués ici que les acteurs de la prévention, de la formation et de l'intervention pré-hospitalière, même s'il va de soi que la "chaîne des secours" comprend aussi l'ensemble du personnel hospitalier dans une continuité indispensable (de nombreux sites spécialisés évoquent les professions y afférentes). 

 

 

En cliquant sur les logos ci-dessous, vous accèderez à un film vous permettant de découvrir une partie des nombreuses activités propres à ces organismes ou métiers de l’urgence.

 

Pour accéder aux sites Internet de ces organismes et en connaître davantage encore, rendez-vous en page "LIENS UTILES".

 

 (Vous êtes vous-même acteur du secours à personne ? N’hésitez pas à me contacter pour proposer, le cas échéant, une vidéo vous paraissant plus représentative, ou plus actualisée de votre activité !)

 

 RB

 

 

 



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Ici, avec des formateurs de la Croix-Rouge Française, mais de nombreux organismes agréés par l'INRS forment au SST...

 

 

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